| Sujet: Mission de rang D , Canigi Hyugima , Grabuges au marché Jeu 25 Avr - 10:16 | |
| Mission de rang D : ~Grabuges au marché~ Une somptueuse matinée d’été s’annonçait, la rosée du matin tout juste dissipée laissait place à une bourrasque venteuse chaudementarrivée. Tandis que Canigi s’échauffait pour un énième entraînement, celui-cidécida, d’une humeur curieuse et motivée, de tester ses capacités au lancé dekunais et autres exercice avec manipulation d’objets. Il ouvrit alors le sacqu’il déposa précédemment sur un rocher, puis y ôta un carnet dans lequel illista certaines stratégies intéressantes pensées la veille. Il l’ouvrit puisentama son entraînement par la technique qu’il nomma dans son journal :L’attaque fantôme. Celle-ci nécessite une multitude de buissons ou autreséléments pouvant servir à se dissimuler, en effet, cette technique est à labase réalisée avec les clones de terres. Pour être claire, Canigi est cachéderrière un buisson, puis fait apparaître ses clones derrières d’autresbuissons à proximités. Il sort ensuite de sa cachette et se dirige vers unautre buisson tout comme ses clones afin de réaliser une sorte de« mélange » et perturber l’adversaire ne sachant plus où se trouve levrai. Ensuite, Canigi ainsi que les clones saisissent simultanément un kunaidans leurs sacoches et le jette tout en courant sur le ninja. Le jeune Hyugiman’est tout de même pas simplet, il sait très bien que ce n’est qu’un artifice,cela ne lui permettra pas d’abattre son adversaire. C’est pourquoi, par lasuite, et c’est d’ailleurs cette suite le clou du spectacle, Canigi lance parmiles kunais un parchemin explosif créant suite à sa détonation, un écran defumée lui permettant une offensive par ninjutsu qui n’est autre que le katongoukakyuu ayant pour but de frapper de plein fouet le ninja encore emprisonnédans l’écran de fumée. Et si par malheur celui-ci trouve le moyen de s’entirer, les clones de terre précédemment créés l’attaqueront à leurs tours àtravers des techniques de corps à corps. Le jeune ninja était prêt, il soupira,puis après avoir placé un épouvantail représentant l’ennemi sur la zoned’entraînement, celui-ci partit se réfugier derrière un rocher, du quel ilentama l’exercice. Le seul inconvénient de cet entraînement est que, commeCanigi l’avait prévu, l’épouvantail ne peut pas bouger, n’étant pas unecréature animée. Mais cela n’importait peu, le résultat restaitapproximativement le même selon lui. Après l'avoir réussi avec succès, Canigicocha la case concernant cette technique sur son carnet, puis, il continua unlong entraînement. Composé encore d'une bonne dizaine de techniques. Quelquesheures après cet entraînement, le sunajin retourna au village. Épuisé par samatinée, il rentra chez lui afin de se concocter un repas de chef étoilé.Malheureusement, les épices ainsi que d'autres ingrédients manquaient àl'appel, il se devait donc d'aller les achetés au marché à côté de chez lui. Ilattrapa rapidement un sac afin de charger les ingrédients, ainsi que del'argent afin de l'échanger contre les aliments, puis se hâta en direction dumarché.Il arpentait les rues, ne se laissant pas le temps derespirer, avec la peur au ventre d'arriver trop tard et de ne pouvoir payer sesingrédients et donc de ne pas pouvoir réaliser un plat ainsi que l'impossibilité de se mouvoir. Il continuaalors dans un élan de précipitation sa course, avant de heurter un villageoisdont il n'avait pas vu la silhouette se diriger vers lui. Il l'aida à serelever, puis le submergeant d'excuses, fini par s'enfuir en direction de lagrande place et donc du marché de Suna. Une fois arrivé, Canigi regardait dans tousles sens, tournant la tête à gauche, à droite, n'apercevant aucun stand devente de légumes. Il finit alors par prendre de la hauteur. Il escalada un mur,puis s’assit sur la bordure d'une fenêtre, et guetta du haut de celle-ci levendeur de légumes. Il finit au bout de quelques minutes d'observation acharnéeà entre-voir son stand à travers la dense population. Il descendit alors, puisse dirigea vers le stand. Argent à la main, il finit par se trouver face auvendeur et lui demanda quelques ingrédients spécifiques. Une fois cet achatfait, le jeune homme se dirigea vers le stand d'armes ninja afin de réalimenterson stock de kunais et autres armes dont il venait tout juste d'épuiser lematin-même. Le garçon, ensuite sur le point de rentrer à son domicile s'arrêtanet. En effet, suite à un rassemblement intense de la population dans une zonebien précise ainsi que d'énormes bruits dus aux coups puissants portés entre deuxhommes. Canigi se précipita à travers la foule, puis après avoir récitél'incantation, fit apparaître deux clones qui séparèrent instantanément lesdeux hommes. Une fois l'opération faite, Canigi épaulé d'un chuunin venant toutjuste d'arrivé, dissipa la foule et leurs demandèrent de retourner à leursoccupations. Pendant ce temps, Canigi amena les deux hommes dans une ruelleafin de discuter et de connaître le problème ayant causé la situationprécédente. Tandis que l'un d'eux restait silencieux et colérique, l'autre d'unton acre rétorqua à Canigi :« T'façon qu'est-ce que ça peut vous faire à vous, onvous a rien demandé, ce n'est pas vos histoires, si on a envie de se foutre surla gueule on le fait, c'est notre droit ! »Le jeune garçon, perplexe suite à cette réponse garda tout demême son sang-froid et demanda une nouvelle fois une explication, sous peine,dans le cas d'un refus, de les envoyer directement voir le Kazekage pours'expliquer directement avec lui. Étrangement, bien que le ninja s'en seraitdouté, les deux hommes se mirent de suite à parler ainsi qu'à expliquerl'intégralité de l'histoire. Il ne s'agissait tout simplement qu'une querelleayant mal tournée concernant les places attribuées aux deux hommes, ainsi queleurs prix respectifs. Il semblerait que l'homme ayant peu parlé est celuicausant un trouble dans l’atmosphère des deux hommes, car selon l'autremarchand, il aurait volontairement prit sa place de marché, pouvant encore alléselon lui, mais il lui aurait aussi volé tous ses clients en baissantvolontairement le prix de façon considérable, cassant littéralement laconcurrence et l'empêchant de réaliser le moindre profit ce qui serait doncl'élément déclencheur de cette bagarre. Embarrassé et ne sachant commentrésoudre ce problème, se gratta l'arrière du crâne montrant la longue réflexionqu'il était en train de réaliser. Puis, quelques minutes après un long silence,Canigi trouva l'idée parfaite. Il interpella les deux hommes et leurs proposa,bien que cela risquerait de ne pas leur plaire, une association, en claire, uneunion des deux stands formant un duo d'associés vendant des épices de toutesorigines et de toutes saveurs. Après une réflexion commune, les deux hommes semirent d'accord, et surprenant Canigi, ils acceptèrent et se remirent au boulotde suite. Dès lors que cette réconciliation fut faite, le jeune homme rejointses appartements et les laissa afin de pouvoir rédiger un léger rapport sur l’incidentperçut sur la grande place. Quelques heures après, le jeune homme ayant finison rapport ainsi que sa journée, se rendit au bureau du Kazekage et y déposason rapport. Il traversa ensuite la ville, et reprit d’une allure apaisée ladirection de son habitat. Entre-temps, il passa devant le tableau des missions,et étant curieux, décida d’y glisser un œil. Il constata d’ailleurs avecstupeur que la querelle des marchands n’était pas la première qu’ils aient eu,et que si récidive, il y avait, ils pourraient être contraints à de gravessanctions. Canigi haussa alors les épaules tout en soupirant, désespéré parleurs comportements. La journée s’acheva, toute la population se rangea en ses appartements, laissant place à une fraiche nuit desplus habituelles dans un éblouissement lumineux que la lune offrait chaque soiraprès que le soleil lui concéda sa place.Quelques jours plus tard ~Canigi, sortit tout juste de chez lui après une nuit desommeil mouvementée, il décida de se rendre au marché afin de voir quellesnouvelles armes pourraient bien être présentes. Il se faufila au milieu de lafoule, et tenta de se rapprocher du stand. C’est alors, qu’en tournant la tête,il aperçut les deux marchands reconnus pour leurs diversités de variétés depiments qu’il eut besoin de réconcilier précédemment. Il les voyait, unenouvelle fois dans une posture de rivalité, mais cette fois-ci, laissa coulerne pensant pas voir l’histoire dérapée. Il fut enfin arrivé face au marchand d’armes,il lui demanda quelles étaient les nouveautés, quand tout à coup, dans ungrondement assourdissant, une explosion survint dans son dos. Il se tournasubitement, pensant d’abord à une attaque d’une contrée ennemie, puis dans lemême temps, se rendit compte que ce n’étaient que les deux hommes encore entrain de s’affronter comme des enfants. Il s’activa alors pour les séparés,lorsqu’il réalisa en voyant l’attroupement en mouvement, que ce n’était plus unconflit entre deux hommes, mais bien entre la foule entière. Il décida alors d’utiliseraux grands remèdes, les grands moyens. Il sauta dans les airs afin d’atterrirsur le rebord d’une fenêtre, puis suite à un enchainement de signes, utilisa leclonage de terre. Suite à une forte concentration de chakra, le garçon fitapparaitre cinq clones, auxquels il ordonna de séparés les villageois, sansnon-plus utiliser la violence, en effet cela serait stupide. Quant à lui, étanten sous nombre même à l’aide de ses clones, décida d’attirer l’attention afin d’arrêterles multiples fracas. Il saisit alors quatre kunais, dont deux reliés à desparchemins explosifs. Il les lança les kunais explosifs de toutes ses forces,puis s’empara des kunais normaux et les lança en direction des autres kunaisprécédemment lancés, créant une explosion à la fumée abondante et infligeant letrouble dans la mêlée de villageois, ne réalisant pas ce qui se passait et s’arrêtantnet à cause de ce phénomène. Profitant de la situation, Canigi bondit sur lesdeux hommes à l’origine de cet incident, puis les saisis par le col et lesemmena plus loin, tandis que pour ne pas être suivit, il imposa ses clonesderrière lui tel un barrage humain. Commençant à perdre son sang-froid à causedes deux hommes, le ninja décida de les emmener sur le champ dans le bureau dukazekage pour qu’ils s’expliquent. Il partit alors, sur le chemin du centre-ville,en direction de la tour, il soupira, les hommes toujours à portée de main, puisles avertis sur les risques qu’ils prenaient en continuant leurs enfantillages.Une fois arrivé face à la porte, Canigi saisit la poignée et entra précipitammentsans même prendre le temps de toquer. Surpris de sa visite, le kazekage l’interpellad’une voix sage :« - Jeune ninja, que fais-tu donc dans mon bureau encompagnie de ses deux marchands ? Y a-t-il encore un problème avec lemarché ? -Je n’en sais rien monsieur, mais ces deux hommes, tout commequelques jours au paravent se rouèrent de coups et aujourd’hui emportant mêmela foule entière dans leur folie. » C’est alors que, se redressant sur son siège, le kazekage jointses mains devant sa bouche et fermant les yeux afin de réfléchir quelquesinstants. Canigi, restant perplexe finipar s’assoir, laissant derrière lui les deux hommes contrains de rester deboutet l’un à côté de l’autre. C’est alors que quelque instants suivant cetteaction, le kazekage prit alors la parole d’un ton grave et sérieux :« -Eh bien messieurs, je ne trouve pas d’autres moyensque de vous exclure du village, vous serez exilés au pays de votre choix, tant que celui-ci n’est pasSuna. Vos faits sont bien trop importants et graves pour que je vous laisseencore une chance, j’ai été déjà bien assez clément suite à votre écart d’il ya quelques jours dont ma fait parvenir dans un rapport ce jeune homme, àprésent s’en est trop. Vos querelles ne font que déteindre sur le reste de lapopulation est cela n’est pas acceptable.- Mais monsieur lekazekage…-Non, vous n’avez rien à dire, ma décision est prise, vosmilles excuses ne me feront pas changer d’avis, il fallait réfléchir avant d’agir,et vous, tel des animaux n’avaient pas réfléchit le moindre instant avant vosactes violents. Merci monsieur Hyugima, vous pouvez disposez, je m’en charge àprésent »Et c’est sur ces mots, que le jeune ninja se redressa etreprit la porte afin de rejoindre la ville active. Curieux de connaitre lesconséquences de son acte sur la population du marché, Canigi y fit d’ailleursun détour, passant par une ruelle étroite et peu fréquentée, il y aboutit surla place. Voyant les habitants encore interloqués, ne sachant quoi penser de l’explosionsurvenu par l’action du jeune Hyugima, ils retournèrent finalement, chacun àleurs rythmes, dans leurs routines habituelles. Canigi sourit en voyant l’effetde surprise encore actif, il n’était pas mécontent de lui, certes, il eutbesoin d’effrayer la population, mais ce n’était que dans le but de servir leurcause. Il finit son voyage à travers la ville par l’appartement qu’il habite,ouvrant la boite aux lettres à son nom, suite à la curiosité imposée par lepapier dépassant de cette boite, Canigi s’empressa d’y retirer son contenu, etde lire, impatient de connaitre son sujet. Il s’avère que sa boite contenaitdeux supports écrits, l’un étant envoyé par le kazekage en personne, et l’autrepar l’administration des héritages et des colis non-distribués. Il rentraalors, les deux lettres à la main, puis déposa sur la table l’enveloppe de l’admistrationafin de lire tout d’abord celle du kazekage lui étant adressée. Il lit :« Cher Hyugima Canigi,Encore genin, mais déjà un ninja dévoué à son peuple. Je teremercie de ton investissement au cours de la mission qui t’as été adresséeconcernant les problèmes au marché. C’est pourquoi je t’envoie ces quelquessous au nom de la société ainsi que de moi-même en guise de remerciement pour l’aidedont tu as fait part à ton peuple.Sincères remerciement pour ta rapidité ainsi que ton sérieuxdans ton travail.Cordialement le Kazekage. »Canigi était tout émoustillé, très heureux de recevoir unelettre de l’un des hommes qu’il respecte le plus au monde, de plus que dans cetécrit, il le remercie, lui, le jeune Hyugima reçoit les remerciements du pluspuissant ninja de Suna. Mais il s’avère que sa joie allait vite être effacéeainsi que son sourire. En effet, après avoir saisi la seconde lettre, il serendit compte qu’elle traitait d’héritage, et qu’il n’avait pas encore reçusceux de sa mère ainsi que de son père défunts, hormis la maison, dont il héritalogiquement dès leurs morts. Il soupira et laissa la joie régresser ainsi queson sourire qui chuta d’un coup, dès l’ouverture de l’enveloppe. Il lit ému parson contenu :« Mon cher enfant, tu as sans doute grandit, du moinsje l’espère avant ma mort ainsi que celle de ta mère, suite à notre fin de vie,nous te léguons avec notre plus sincère amour et désolément ce sabre, à la lamecristalline, forgé dans le métal le plus précieux que l’on puisse dégotter,ainsi que son fourreau incrusté de Quartz ainsi que de Rubis, mais bienévidement, tu te doutes que celui-ci n’est pas de notre initiative, notremodestie nous empêcha d’acheter un si gros bijou. En effet ce cadeau est de tongrand père, il me le transmit afin que j’en prenne soin, et c’est maintenant àtoi de le garder et, si ton talent te le permet, te battre avec comme le ninjaque tu as toujours souhaité être. Par contre, ne soit pas d’esprit trop rêveur,bien que cette lame semble exceptionnel, ce n’est rien d’autre qu’une lame,elle n’a rien de magique, ni de surpuissant, elle est juste là, faite pour qu’unhéros aussi digne que celui que tu souhaites être, puisse la porter ettriompher de ses combats avec elle. Nous n’avons moi, et ta mère, rien d’autrescomme héritage et nous en sommes désolé, nous nous sommes battus pour gardercette relique dans la famille et nous espérons ne pas l’avoir fait en vint,fais en autant, voilà ma dernière réclamation. Mon fils.Ton père ainsi que ta mère qui t’aime très fort. »Et c’est sur cette dernière phrase que la gouttelette roulantpéniblement tout au long de sa joue, acheva sa course. Le jeune homme étaitpétrifié, perturbé par cette tragique lettre, ne savait quoi faire de cettearme, encore présente dans le coffre de la banque au nom de son père, comme l’expliquaitl’astérisque accompagnant cet héritage. Devait-il la garder telle une arme,bien qu’il n’est pas doué au corps à corps, il pourrait sans doute la confier àson fidèle compagnon King Kazka, ou bien, devrait-il au risque de briser salame en combat, la garder tout comme son père la fait, tel une reliqueconservée dans sa chambre qui n’est autre que le coffre de la banque, Canigi nesavait quoi faire ni quoi penser. Il souhaitait évidemment la récupérer pourfaire honneur à son père dans les années à venir sur les champs de bataille,mais la peur au ventre de la casser le laissait là, dans un pénible dilemme.
THE END
( Ps : Désolé pour la mise en page, mais je ne trouve pas le code a supprimer pour le remettre normal, si le contenu est comme ça c'est parce que le fais au brouillon sur Word ^^')
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