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 A l'eau - D || Kuroro Lucifuru

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MessageSujet: A l'eau - D || Kuroro Lucifuru   A l'eau - D || Kuroro Lucifuru EmptyLun 13 Mai - 11:49

Spoiler:

    Réveil difficile ou plutôt réveil habituel, comment on pouvait ne pas s’habituer à la clarté du soleil après tant de temps passé à son exposition ? Ou alors on pouvait considérer que passer la grande partie de son enfance loin de ses terres de naissance faisait perdre les capacités de ses ancêtres à s’accommoder à cet environnement. Enfin il fallait dire aussi que les vieux fous avaient pour habitude de côtoyer l’obscurité humide de ces gigantesques fondations belles qu’à impressionner les âmes perdus, comme si la présence d’un enfant ne pouvait pas changer leurs directives. A croire que contrairement à l’habituel, ce fut le manque de soleil qui leurs frappa à la tête toujours encapuchonné. Oh qu’ils étaient bons, Oh qu’ils étaient respectés, Oh qu’ils pouvaient m’ennuyer et ils continuaient encore à le faire même à des Kilomètres de moi. Je ne pouvais pas regretter d’avoir quitté ces sages du dimanche, mais pourquoi donc je dû me retrouver en ce village à la fin. Je l’avais quitté pour pas beaucoup mieux, même si on me dira que je n’avais pas à m’en plaindre, et, maintenant que je quittais ce « pas beaucoup mieux » je faisais en sorte de retrouver le pire. Bien sûr ce pire n’était plus le même qu’avant, bien que cela restait encore à déterminer, mais il n’en gardait pas moins que ces affreux stigmates donnant juste envie de s’enterrer vivant sans oublier de déchaîner les enfers pour se libérer de ces chaînes avant, pour finalement profiter amplement du repos. Mais ma fatigue du matin, celle qui à la fois m’empêche de pleinement me lever, mais m’empêche également de retrouver les bras calineux de Morphée (dommage qu’il s’agisse d’un Homme bien que Dieu). Etait bien trop forte pour me permettre d’assouvir à mes envies les plus grandes à la venue de ses stigmates dont la levé de ce soleil faisait partie. Et dire qu’ici les gens venaient pour l’admirer, médisant de sa beauté, moi ma seule envie était de le cryogéniser, ou même plutôt de le brûler des flammes de l’enfer pour lui faire comprendre à quel point il pouvait être gênant et peut-être que la leçon lui serait suffisante et qu’il finirait par éviter d’envoyer ses rayons piles sur l’ouverture de la fenêtre donnant sur le fauteuil. Il m’était toujours possible d’acheter des rideaux pour estomper sa venue, mais dire ça à une personne n’ayant même pas de lit où dormir … Bon mes forces canalisaient, tous libéré d’un coup et me voilà enfin debout. Il me fallait juste osciller de mon possible en gardant l’équilibre pour me rafraîchir. C’était loin, les obstacles sont nombreux, la chute n’est pas loin et je la connais trop bien pour en apprécier sa présence d’autant qu’il serait synonyme de redécouverte de l’univers de la vie du serpent. Je n’avais pas rangé ce petit endroit depuis un moment, s’il me prenait d’arpenter le parterre je finirai vite par manquer d’air et on ne peut pas dire, il s’agirait là de la mort la plus ridicule qu’il soit et je ne compte pas laisser le grand barbue rire de ma personne sur son nuage modelait à vie par son fessier. C’était une question de vie ou de mort à présent, en ce jour aveuglant je ne connaîtrai surement pas pire épreuve et si je me ratai je ne connaîtrai rien de plus que le goût sablé du sol. Non, ressaisit-toi, aucun flashback n’est apparu donc tu peux être sûr d’être tranquille pour un bon moment. Un pas et *ouf* checkpoint, le mur d’entrée de la salle de bain, une puis deux inspirations et c’est partie on fait la pièce en deux pas pas plus ! Presque trop facile, comment j’ai pu douter de mes capacités …


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Le robinet s’ouvrit avec difficulté, il manquait de force dans son geste, mais comme trois quarts de ce qui se trouvait ici, il fallait le réparer. Mais bon comme l’ours le dit si bien « Il faut peu pour être heureux », une incitation à la flemmardise pour l’un et une philosophie de la grande âme pour l’autre. Dans le cas de notre protagoniste la réponse ne serait qu’un essoufflement, jugeant la faiblesse d’esprit de se ranger d’un côté comme de l’autre au point où il serait capable d’en débattre seul un moment. Mais son esprit dérangé n’est pas présent en cet instant pour cela et on se le dira c’est une bonne nouvelle. En tant que représentant de la narration je me dois d’être simple observateur donc pleinement objectif, pour cela je ne dirai pas à quel point il peut être ennuyeux, entendons-nous, je dis bien que je ne le dirai pas. Donc le voilà à forcer sur l’ouverture du robinet, pourtant déjà ouvert, mais ne lui donnez pas comme titre l’étiquette de l’idiot, son esprit déjà embrumé et maintenant le fait que rien ne sort. Ha si une goutte enfin puis un fin filet, rien de bien fameux pour une ouverture au maximum. Mais il allait devoir s’en contenter sans même broncher, sa toilette matinale n’allait pas être fameuse, juste suffisante. Petit déjeuné, dernier soin hygiénique et c’était partie pour enfin sortir. Le soleil était encore plus fort, même s’il avait retrouvé sa lucidité il marchait la plupart du temps à l’aveuglette. Il bouscula deux trois personnes, ce laissant emporter par le flot entretenu par les ruelles bondés. A l’image du flux sanguin, il allait simplement finir par se retrouver au niveau de la pompe de tout cela, le point d’amorçage où tous les chemins se rejoignent. Non pas Rome, mais le centre de la ville. Il ne lui manquait plus à présent que de quitter la masse pour rejoindre le QG.

Une fois à l’intérieur, l’air était bien plus respirable et il ne fallait pas dire ils savaient bien vivre ici, on ne sentait presque plus la chaleur intense à seulement quelques pas en arrière. Une envie le prit de simplement se poser dans un coin, cigarette en bouche et fraîcheur au dos. Mais bon, cela faisait un moment déjà qu’il ne faisait plus rien, il lui fallait bien renouveler ses derniers Ryos avant de finir avec juste un trou en poche. Surtout qu’il ne comptait pas vendre son corps, même si les vieilles bourgeoises n’étaient vraiment pas radine comme on pouvait le penser. Après tout il y a pas de prix pour le bonheur, dommage qu’il n’y avait pas encore de moyen de déconnecter un instant sa mémoire ou même de l’effacer, dans ce cas il n’aurait pas dit non. Enfin vu qu’il avait connaissance de tout cela, on pouvait bien penser qu’un jour peut-être il serait réifié au plaisir de ces dames. Lui bien sûr dira juste que son esprit ce doit d’être rempli et qu’il ne peut se permettre de refuser les informations qu’on lui propose. Mais rien ne vous empêches de le considérer en pervers après tout. Bref pour l’instant il ne pouvait pas se permettre cela, il se devait donc de remplir ces obligations en tant que ninja, même s’il ne comprenait toujours pas ce qui l’avait amené à en être un. Il trouvait intéressant les premiers enseignements sachant qu’il avait déjà étudié ces arts bien avant de revenir au village et d’après ce qu’on lui disait il avait certaine facilité à ce sujet. Certain disait même que dans son cas cela devait être génétique, lui considéré qu’il avait plus de chance de devenir un saoullard sans éthique au nom de la génétique, plutôt qu’un possible « génie » de l’art ninja bien que pathétique. D’un cas comme dans l’autre il cracherai son plus gros molton sur cet aspect de la science, il lui suffirait alors de dire que ce fut la génétique qui amena ce surplus de salive infesté n’ayant plus d’autre choix que de l’expulser … et bien sûr que la cible parfaite se trouvait juste devant lui en lui inspirant dégoût. Ben oui faut bien rester honnête.

La mission considéré comme primordiale, ou alors dernière mission mis à disposition, dans tous les cas la première à la vue, venait tout juste d’être mis à jour. Depuis ce matin le réseau d’approvisionnement en eaux étaient défectueux, pour ne pas dire complètement inopérant. Le but de la mission étant d’en trouver la cause, pas plus pas moins et de rapporter cela au QG. En dehors de cela, une bonne chose était de faite, un réseau de secours avait été appelé et il fallait le dire assez vite. A croire que l’administration du village se voyait amélioré aujourd’hui, dans l’espoir que cela reste le cas encore à l’avenir. Bon rien de bien difficile, cela allait juste demander un peu de temps pour parcourir les canalisations. La première chose qui allait être fait été d’apprendre l’ampleur des dégâts et pour cela se rendre au centre de gestion de l’eau. Ce dernier était assez loin, mis à l’écart du reste du village, certainement par mesure de sécurité. Ça allait donc déjà prendre pas mal de temps pour s’y rendre, temps à ne pas perdre donc allant être utilisé à bon escient. Comment précisément ? Cela restait un mystère, il n’avait même pas encore prit le temps d’étudier le dossier de renseignement sur cette mission. En le feuilletant il trouvera surement quelque chose d’intéressant pour fructifier son temps. La première chose trouvé était la localisation de l’usine de secours qui se trouvait sur le chemin, il suffisait juste d’y faire un petit détour et par la suite prendre un chemin contournant le village ce qui permettrait de ne pas être gêné par l’ensemble des habitants. L’usine en question était plutôt imposante, aujourd’hui chauffant à deux cent pour cent, il fallait dire qu’habituellement elle s’occupait que de particulier, des personnes n’ayant pas confiance en l’eau à disposition de tous ou ayant besoin de plus pour leurs bien-être. Il s’agissait donc vraisemblablement d’une usine privé et non pas à disposition du village, qui allait donc se faire une énorme marge aujourd’hui rien que pour la disponibilité de dernière minute. Mais malheureusement l’entrée ne fut pas permise, en ce jour le travail était trop important pour être gêné. Il ne manquait plus qu’à se rendre à l’usine principale pour déterminer les causes de la déficience.

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    L’activité minimal de répartition de l’eau dans le village n’était pas totale, mais se répartissait sur presque trois quart du territoire. Dans ces endroits la distribution se faisait tout de même, mais de manière très insuffisante voire presque inexistante. On ne pouvait donc pas dire que le traitement de l’eau était déficient véritablement, mais en chemin il y avait un problème. Ce qui était difficile à déterminer était l’endroit où cela commençait, ce n’était pas comme si rien ne marché et donc que l’origine du problème était l’origine même de la distribution en amont. Heureusement mon esprit ingénieux prit la place et une hypothèse peut-être farfelue pour les sceptiques me vint. Je pouvais aussi remercier le mal qui prenait par occasion possession de mon corps pour agir en contradiction des enseignements que j’eu non pas dans ma première enfance mais dans cette seconde qui m’amena aujourd’hui ici. Comme quoi il est bon de ne pas avoir l’esprit fermé et de se nourrir de tous les horizons, en ce jour ca allait être les mauvais qui allaient être favorisés. Donc me voilà avec le plan de la circulation des eaux du village passant sous terre et y ajouté celui volé dans l’usine de substitution … Pas besoin d’aller plus loin dans la visite de cette dernière pour que ma main vint subtiliser le premier document me faisant de l’œil. Analysons maintenant un peu tout ça, qui dans un premier temps est simplement illisible …

    Nous voilà à l’endroit de tous les malheurs, après vous avoir épargné ses longs moments de recherche ainsi que ces cheveux arraché se nourrissant à présent du sol tel des mauvaises herbes. Il me fallait descendre dans les bas-fonds puant par contre et il faut dire que mon amour des odeurs nauséabondes n’est pas des plus grands. M’enfin quand il faut, je me jette tête baissé dans le trou à disposition pour rejoindre le monde des ordures mouillés et avec chance sans me retrouver plongé dans les eaux sales. Bon maintenant il était question de trouver les tuyaux en question et surtout de les identifier convenablement. J’avais fait en sorte de bien étudier le plan pour ne pas me tromper, j’étais à présent un expert ! … Les Dieux eux ne peuvent pas toujours être avec moi, après m’avoir épargné que les égout jonchent mon corps, j’avais face à moi des étiquettes. En quoi des étiquettes pouvaient-être mauvaises ? Ils indiquaient à qui était les tuyaux, voilà tout ! Ne vous vous rendez donc pas compte du temps mis pour avoir une vision conforme de la disposition de ces derniers pour pouvoir les identifier. Personne ne pouvait donc me dire qu’il y avait déjà tout à disposition pour m’empêcher une telle perte de temps, le soleil allait bientôt se coucher tout de même ! Argh, tant pis, au moins je pouvais voir que j’avais vu juste. Une dérivation se tenait entre tuyau général et ceux du privé. En clair en plus d’empiéter dans le terrain du distributeur principale, ils leurs voler également leurs eaux. Une pierre deux coups comme on disait. Bon je pouvais entrer et dire tout à présent, mais un sentiment amer me restait en travers de la gorge. J’avais tout de même prit un temps fou, je méritais bien plus que le prix d’une mission aussi basique. Si j’arrivais à résoudre le problème, alors le QG pourrait bien me donner un bonus et en plus il me serait possible de faire chanter les voleurs pour ne pas les accuser. Et vu ce qu’ils avaient gagné je pouvais me faire assez d’argent pour être tranquille un moment, une super idée quoi !

    Je me dirigeai donc vers les régulateurs de débits, d’abord les baisser suffisamment. L’ouverture entre eux et les tuyaux était faible, mais suffisant pour y faire pénétrer de la fumée. Je plaçais donc ma bouche, non pas sans un certain dégoût, contre la petite fente pour y faire entrer une certaine quantité de fumée. Il fallait à présent boucher les dérivations et cela en baissant petit à petit le diamètre du tuyau. Tout cela en faisant très attention, aller trop vite ferait céder la fumée durci et être trop lent amènerait de trop forte turbulence dont les résultats m’étaient encore inconnus. Pour l’instant tout ce passé bien, on pouvait entendre les sifflements de l’écoulement marquant les turbulences montrant la réduction de la dérivation. Le dernier influx de fumée et ce serait complètement bouché … Parfait ! Ha non, presque, l’un a cédé, mais cela n’a pas du causer de problème, enfin je pense. Il me suffisait de rompre les dérivations et m’occuper de la dernière pour laquelle je n’avais pas réussi du premier coup. Voilà tout été bon, il me suffisait à présent de faire un tour vers l’usine de secours et puis le QG et j’étais tranquille pour un moment.


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Sortant des sombres égouts, il pouvait voir le soleil se couchant dans une clarté orangé. Il avait passé sa journée là-dessus, mais sans trop de regret lorsqu’il pensait à ce qui l’attendait à présent. Sa première destination n’était pas trop loin, il lui suffisait de parcourir quelque quartier et c’était bon. Au loin il pouvait voir une grande fontaine, donc il avait bien réussi finalement, c’était une bonne nouvelle. Il n’avait jusqu’alors pas connaissance d’une telle chose dans le village, mais fallait dire qu’après tout cela il ne dirait pas non pour une petite pause. La fontaine semblait encore plus grande de près, mais sa couleur faisait par contre assez peur, lui enlevant toute envie de l’utiliser. C’est alors qu’il s’apprêtai à s’en aller, en contournant le jet d’eau, qu’il put remarquer l’origine de ce dernier. Non pas une fontaine, il s’agissait là d’une habitation ou plutôt ce qu’il en restait. Il fallait croire que son ratage avait bien eu des conséquences, la puissance de l’eau dû être plus impressionnante en aval de la dérivation restante, trop forte pour l’un des premiers terminaux et voilà la résultante. Par chance au vu de la quantité y étant sorti, pour le reste tout c’était bien passer. Une maison se sacrifiant pour les autres, c’était honorable non ? … Avec ça il ne pouvait plus se permettre de continuer son plan. S’il disait qu’il avait réussi sa mission, alors il devrait prendre ses responsabilités dans les réparations des dégâts. Il pourrait même perdre l’argent qu’il gagnerait avec son chantage, mais surtout il devrait tout nettoyer. Il pouvait pas se le permettre, il préférait encore dire qu’il n’avait rien trouvé et faire le surpris lorsqu’on lui dira que tout été revenu en ordre. Avec un peu de chance on le considérera même comme honnête à ne pas prendre les faveurs qui ne lui revenait pas, même s’il n’y avait que peu de chance qu’il en soit récompensé. M’enfin la journée avait été fatigante et un repos bien mérité l’attendait à présent. Suivant le chemin entreprit, il put simplement admirer le nom de domaine de l’habitation qui disait « Hyugima Canigi » pour ce qu’il pouvait voir, un soupir puis go …


Dernière édition par Kuroro Lucifuru le Mar 14 Mai - 17:33, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: A l'eau - D || Kuroro Lucifuru   A l'eau - D || Kuroro Lucifuru EmptyLun 13 Mai - 11:53

Mission fini, mais raté, ce qui remplit l'exploit :

L'expérience est forgée par les victoires... et les échecs.
Récompense : 5 Points de Chakra.
Spoiler:
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MessageSujet: Re: A l'eau - D || Kuroro Lucifuru   A l'eau - D || Kuroro Lucifuru EmptyMar 14 Mai - 17:27

J'ose intervenir sur ce Rp suite à l'insulte qui me fut infligée u.U,
JE REFUSE ! Que cette petite Kurorotte écorche mon nom !

"Hyugami Canigi"
C'est HYUGIMA !!! è.é

Fin de l'intervention
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Ermite du Ninshû
Fondateur et Maître du Chakra
Ermite du Ninshû
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Date d'inscription : 19/03/2011
Age : 30
Village : Aucun
Affinité : Toutes


Description du Shinobi
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MessageSujet: Re: A l'eau - D || Kuroro Lucifuru   A l'eau - D || Kuroro Lucifuru EmptyVen 17 Mai - 10:29

J'avais dis que je m'en occupais, je ne l'ai pas fait, honte sur moi !

Je valide !
+5 pour la mission, +5 pour l'exploit, n'oublies pas d'ajouter ton exploit dans ton dossier shinobi Wink !
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