Avez vous déjà rencontré de ces personnes dont l'image, même si elle ne vous est apparus qu'un cour instant, reste dans votre esprits ? Son image est là, dans votre tête et ne semble pas vouloir partir de si tôt, elle se cache derrière d'autre pensée, elle joue avec vos sens. Alors, sans que vous ne vous en soyer rendu compte elle est passer d'image à sensation. L'image est contre vous, vous la sentez se presser contre votre corps, dans ces moindre recoin. Mais elle est aussi à l'intérieur, elle respire avec vous, c'est une chaleur tapis dans le creux de votre ventre, dés que vous lui laisser un peu de place elle se transforme en soupir ou en frisson qui parcours tout votre être. Elle est là tant que vous ne voulez pas y penser, et disparais comme par enchantement lorsque vous vous arrêter dessus.
Voilà l'impression de ceux qui croise Kimochi Dowa. Au détour d'une rue il est possible de croisé, dans un courant d'aire, ses cheveux roux. Chacun d'eux parais être unique, tout en faisant partis d'un tout, duquel ils reste indissociable. La masse légère et suave laisse derrière elle un étrange goût de soleil, comme si elle était suivi de son propre hale de lumière. Quand ils ne sont pas emprisonnés dans un chignon il forme un cadre dans lequel le visage de Kimochi parais, lui aussi, rayonner. Ils tombent tout d'abord sur un grand front blanc, ou ils forment des arabesque les jours de pluie. Les arabesques se mêlent jusqu'aux yeux en amande de notre héroïne. Quand celle ci pleure il est possible de voir s'accrocher des larme à ses cils. Grand et aussi roux que ces cheveux, ils ploie au rythme du battement de ces yeux, comme un champs de blé sous une légère brise en été. Sous ses yeux se trouvent deux pommettes rebondies, trop selon notre héroïne, qui préférerait les voir plus plates. Quand il fait froid cette partie de son visage devient rouge, les taches de rousseur qui s'y trouvais disparaissent alors. Au milieux du visage se trouve son nez très fin, et légèrement en trompette, à bien observer il est possible de lui trouver une ressemblance avec celui d'un renard. D'ailleurs ce n'est pas la seule ressemblance avec l'animal que comporte son visage. Certes il n'est pas commun d'avoir croisé un jour le regard d'une de ces bête, mais les yeux de Kimochi imitent à la perfection leurs reflet vif et furtif. Ce regard fauve et plein de mystère est très révélateur du caractère de la jeune femme. Ses lèvres sont aussi très révélatrices de son caractère : elles sont à elle seules le reflets des sentiments de Kimochi, parfois étirer dans un large sourire, parfois déformé par une moue, parfois tirée vers le bas d'un côté et vers le haut de l'autre... Très fine elle donne de la douceur au mentons très volontaire de notre personnage.
Mais le caractère très expressif de la jeune femme ne saurais aller sans sa manière de ce mouvoir. Fine et légère sa silhouette parais virevolté comme une feuille d'automne dans la bourrasque d'un mois d'Octobre, dont les mouvement sont vif, rapide et surtout imprévisibles. Sa petite taille, lui donne des allure d'allumette dont l'extrémité serais en flamme à cause de la couleur de ces cheveux. Si ces mains sont à l'image de son corps, ses doigts en revanche sont long et fin, ils bougent rapidement sans jamais se mélanger, surtout quand Kimochi s'applique à tressé sa chevelure de flamme.
Généralement les vêtement de notre personnage sont noir. Le col de son haut s'ouvre de la façon rectangulaire au niveaux de ces omoplates, son bord et toujours doublée de dentelle elle aussi noir. Bien qu'il ne soit pas serré, il n'est tout de même pas large, et décent simplement jusque au niveaux de ses hanches, parfois Kimochi porte un autre haut en dessous de ce dernier : d'un tissus léger et doux, ce rajouts comporte un col montant jusqu'à' à la moitie de son cous. Sur ces cuisses, notre héroïne porte une jupe légèrement large, mais non plissée, qui décent jusqu'à mis cuise, cela lui permet d'être moins gênante. Pour préserver sa pudeur Kimochi porte un short s'arrêtant bien avant la fin de sa jupe, sur lequel elle peut fixé un ou deux kunai, juste au cas ou... De simple sandale complète son accoutrement.

Il y a parfois des êtres dont l'apparence est aux antipodes de leur physique... Nous ne pouvons pas dire que ce soit le cas pour Kimochi. Finalement notre personnage reste quelqu'un de vrais avant toute chose. La jeune femme ne cherche pas à ressemblé, à parler ou à bouger de façon à ressemblé à autre chose qu'à elle même, nous pouvons donc dire que Kimochi est très naturelle. Son caractère loin d'être mauvais est très sociable, elle adore littéralement voir du monde. Cette sociabilité est d'ailleurs porteuse d'un grand défaut : personne n'est aussi bavard que Kimochi Dowa. Son autre gros défaut réside aussi à voir le bien, même au milieu d'une montagne de mal. Cette capacité à voir le bon en chacune des chose de la terre lui ont apporté pas mal d'ennuis au cour de sa vie, et ce n'est pas vraiment fini. Il faut vraiment en faire beaucoup pour arrivé à la courroucer, mais une foie que ce seuil est franchi, plus rien ne peut arrêter Kimochi. Elle vous pourrira la vie si vous n'aller pas dans son sens, et diras que c'est pour votre bien. Une des choses qui peut la mettre dans un cet état est le manque de volonté à s'en sortir, ou l'auto-sabotage. Pour cette raison elle est prête à n'importe quoi pour arriver à sauver ne serait-ce qu'un inconnus. La richesse et le luxe lui faisant mal au cœur, elle a souvent cherché une manière de vivre la plus simple possible, pour être heureuse dans la simplicité. Cette sensibilité au malheur la rendant parfois déprécive et affreusement triste, Kimochi trouve ses dernières ressources dans la méditation quelle travail beaucoup.
Mise à part cela, Kimochi, comme toute les filles de son âge, crois encore à l'amour, et au vrais. Qui sait peut être qu'elle pourra recontrer un jour un homme qui veulent bien d'elle, pourquoi pas ?
La volonté allant de paire avec le bonheur, le carractère de notre personnage va de même : Les jours ou celle-ci est gaie on croirais que rien ne lui est impossible, et les jours de malheure son accompagner d'une incroyable flème et d'un défaitisme afligeant, qui ne dure jamais trés longtemps rassurez vous.
Son grand amour de la paix fait qu'elle cherche toujours une solution pour évité le conflit dirrecte, cepandant il y a des occasion ou il ne peut malheureusement pas être évité. Dans ce genre de situation Kimochi préfère en finir au plus vite, et cela avec le moins de dégat possible, pour elle comme pour son adversaire. L'issus idéale de ces combats serais naturellement, que son adversaires reconnaisse sa faute et ne fasse plus le mal, mais notre héroïne n'est pas naïve à ce point : elle sait que certain être peuvent être habité par la méchanceté ou bien la haine. Bien que cela la rende vraiment trés triste, c'est une vérité qu'elle ne peut refuser d'admêtre. Cepandant elle feras tout ce qui est en son pouvoir pour parlementé, discuté, esssayer de comprendre les raison de la cruoté, de la méchanceté. Si aucun retour en arrière n'est possible, alors Kimochi essaira de terminer son combat par la victoire. Tuer est l'une des dernière chose qu'elle ai envie de faire, Kimochi ne veut pas y penser.
Pour en finir avec la figure spychologique de Kimochi, il faut préciser qu'elle pense que chaque chose de la terre possède une âme et peut penser : Elle prêtte donc une conscience et une volontée à toute les choses de vivantes quelle qu'elle soit. A cause (ou grâce) à cette penser notre héroïne est trés respctueuse de la nature et de tout les êtres vivants, aussi mange t-elle que trés rarement de la viande.

La première foie que la terre porta Kimuchi, ce fut au creux d'une aprés midi toride du mois de Juillet. Cela faisait déjà plus d'une semaine qu'il n'avais pas plu à Morijima, la foret de bambou bruissait légèrement sous la brise chaude et légère, on entandais le chant des oiseaux, et le bourdonnement d'une abeille non loin. La lumière était doucement filtrée à travers les feuilles vertes claire, les rayon du soleil dançaient sur le sol recouvert de feuilles brunes mortes. Non loin un panda mangeaient avec paresse et délicatesse qu'elle pousses encore fraiche, assis prés d'une marre il contemplais d'un eouil endormis les reflet de l'eau sur son ventre. Il allais probablement s'endormir quand il fût effrayer par un cris perçant : il ne le savait pas mais ce cris était celui d'un enfants tout juste venus au monde. Kimochi était née.
Toute petite et chétive ces parents dessidère de la protéger en lui donnant la plus grande force qu'il pouvais lui donner : tout leurs amour, le meilleurs de leurs sentiments, Kimochi donc.
On ne peut pas dire que les parents de notre héroïne étaient pauvre, on ne peut pas dire qu'il était riche non plus. En fait comme ils vivaient seul dans la fôret l"idée de richesse et de pauvreté n'existait tout simplement pas. Le père de Kimochi, Asame Dowa, avait été un apprentis moine de l'ordre de la brûme sur l'île principale de Kiri. Au sein de cet ordre il appris à se battre alors qu'il n'était qu'un enfant... Mais sa vie de combatant ne lui plaisait pas, Asame ne supportait pas le combat. Il attendu d'avoir son grade de Chünin pour faire de sa vie ce qu'il voulais vraiment en faire : il devint musicien. Sa seul source de revenue fut ce que les gens voulais bien lui donner quand il jouait sur les place des village, dormant chez les plus généreux. Fabriquant lui même ces flûtes, il testa différent bois. De rencontre en rencontre il fini par entendre parler des particularité des banboux de l'Île Morijima au sud de Kiri.
La perspective de revenir prés de Kiri ne l'enchantait pas, mais la tentation fut plus forte, Asame débarquât au mois de septembre dans le port de Yuhima. Avant de se renseigner sur les nombreuses fôrets de l'île, il décida de visiter le petit village. La faim le poussa jusque sur la place du marché ou il décida d'acheter du poisson, spécialité du village, pour le faire cuire au feu de camps dans la soirée. S'approchant d'un étalage il eu la plus belle vision de sa vie : il venais de rencontrer la femme qu'il aimerait à jamais. Elle le regardait simplement les yeux levés d'une liste de compte, les sourcils remontés sur un magnifique frond blanc, la rousseure de ces cheveux, transpersant la griseur de l'aprés midi d'automne. Volant légèrement dans la brise marine, ils hypnotisèrent litéralement Asame qui n'entendais déjà plus le monde autour de lui. Ce dernier fût sortis violement de sa transe par la voix tonitruante du commerçant qui lui demandais ce qu'il voulais acheter. Alors que le visage de l'ange disparaissait dérière la tente de l'étalage, Asame, complètement vidée de toute énergis, demanda au commerçant ce qu'il lui conseillait, pour gagner du temps et revoir peut être le visage de sa sainte. Mais quand le commerçant eu fini de lui détailler les différente espèse de poisons de l'îles, la belle n'était toujours pas revenue.
Asame pris alors le risque de demander qui elle était, en pensant : *Pourvus qu'elle ne soit pas sa fille, cet homme à l'aire féroce...*. Mais non, le commerçant lui dit tout à fait autre chose, d'encore plus surprenant :
"-Ha Taigen-Nachi ? Personne ne connais son vrais nom, c'est une orpheline... On l'a retrouver sur la plage, un beau jour, surement la seule survivante d'un naufrage. Elle a vécu un peu chez tout le monde au village, on l'appelle Tai. Je l'ai engager, elle est trés forte en calcule, avec elle les compte son bien tenus. Le seul problème avec Tai c'est qu'elle est muette."
Sur ces mots il passa à un autre client laissant Asame aussi orphelin que sa bien aimer. Il attendi ainsi la fin de la journée pour acoster sa demoiselle...Nous vous passerons les détailles mais se fût une soirée inoubliable pour Asame : le lendemain le nouveau couple prévoyait déjà de se marier. Cepandant personne n'appellerais plus la fiancer par l'insultant et neutre nom de Taigen-Nachi : Asame rebatisa sa future femme Hikari, en référance à la couleure transperçante de ces cheveux.
Kimochi, certes chétive et frêle, montra dés son plus jeune âge des habtitudeS à la philosophie Ninja. Son père même si il n'aimait pas se battre, respectat cette voix, il l'entraina donc comme il avait appris à l'école. Ce qui le ravissait de jour en jour était le savant mélange présent dans le carractère de sa fille qui s'affirmais de jour en jour : pour Kimochi le combat servais à la paix, et seulement à la paix. Notre héroïne appris aussi la musique et pris l'habitude de porter une flûte sur elle au quotidien, pour pouvoir en jouer à son loisir. Au lieu de l'envoyer à l'académie Ninja à l'âge de sept ans, elle s'entaîna avec son père jusqu'à douze ans, âge auquel elle rejouint une équipe aprés un l'examen de fin d'étude.
Durant six ans Kimochi remplis les différentes missions pour son Village : Kiri.