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Il fait sombre dans cette pièce. Je ne pense pas être dans une situation avantageuse, mais je ne peux pas m’empêcher d’aller bien. Que m’attend-t-il une fois que la lumière aura fait son retour ? J’ai beau bien me sentir en ce moment, je sais très bien que la suite ne pourra être satisfaisante, quoi que … J’ai bien envie de fumer, une petite cigarette, même roulé directement à la main, même mauvaise. Après tout je ne crois pas ne jamais avoir aimé le goût de ces ennemis pulmonaires, mais plus que de me donner un style, c’était comme une protection, une assurance. Il me suffisait d’inspirer un petit peu de cette tige au bout de feu pour être certain de ce qui en suivra. Ma bouche sera complètement agressée, forçant le chemin vers le larynx au détriment des muscles vocaux et puis tant qu’à faire dans sa finition contre les alvéoles pulmonaires. Enfin c’est ce qu’on disait, dans mon cas ma capacité respiratoire ne s’était jamais aussi bien portée. Mais face à tout ça, lorsque ce poison quittait ma bouche, c’était un bien être total qui occupait mon corps. J’avais toujours trouvé attirant cette fumée flottant dans les airs, m’y était intéressé au point que dans les premières fois j’essayais sans arrêt de modeler des formes à l’aide de ma langue et mes lèvres. L’habituel cercle, qu’il était bon d’y faire passer en son centre mon doigt et de mouvement circulaire faire s’évanouir la forme. J’avais aussi pour habitude de former un cœur, je ne sais même plus comment je pouvais faire une telle chose si facilement, en tout cas ca m’avait valu la chance de pouvoir m’aguicher de la fille d’un commerçant que les vieux sages connaissaient. Je n’étais pas loin de la circoncision maison à cause de cet événement, sauf si c’était à cause du fait que j’en avais profité pour m’octroyer un petit payement fortuit dans la bourse officieuse du père. Pourtant même avec ça les religieux ne se débarrassèrent pas de moi, à se demander ce que mon père pouvait bien leur avoir fait pour qu’ils soient si fidèle. A vrai dire ils étaient impossibles à comprendre, avec leurs façons de faire que ce qui est considéré de bien.
Même si je n’avais pas réussi à définir d’où pouvait bien venir ce sentiment de sécurité lorsque je clopais, j’en ai fini par m’intéresser d’un peu trop près à la fumée. Et vu que mes habitudes n’étaient pas celle d’un pyromane, je mis au placard l’expression disant qu’il n’y avait pas de fumée dans feu. Je ne sais même pas comment réellement, peut-être cela venait de mes dites « prédispositions », surement loin du génie pour autant, mais je finis par avoir la possibilité de moi-même produire de la fumée. Rien de bien impressionnant la plupart du temps, il me fallait une source pour former plus que le conventionnel et l’animer avec plus en plus de précision. C’est lorsque j’appris l’art du ninjutsu que les possibilités furent plus grandes, même si ce fut plus ennuyant au point de m’amener à avoir à rejoindre les rangs de ce village. Il était un peu normal à présent que la fumée m’apporte un certain bien être, mais je ne pu jamais discerner même pas encore d’où venait celui de la cigarette quand on sait que sans je peux bien plus. Il s’agit peut-être de ce qu’on appelle la dépendance, bien que le goût ne me faisait pas vraiment plaisir.

… Voilà, je l’aurais cherché, j’en avais envie sans plus, mais là ça m’intéresserait vraiment de pouvoir becter ce ptit truc une seconde ou deux. Rien de mal il fallait dire, c’est sûr qu’en tant que ninja ce n’est pas la meilleur chose, dans mon cas plus pour l’odeur occasionné que pour un possible impact respiratoire. Mais bon vu ma position je ne crois pas qu’on m’en voudra. Je les sentais pas jusqu’à maintenant, mais voilà que mes mains me démangé à présent, complètement tiré vers le haut qu’il ne m’étonnerait pas d’être proche de la luxation de l’épaule. Je m’étais déjà retrouvé dans une situation similaire, je m’en sentais pas moins mal également, mais j’avais l’air tout de même un peu plus volontaire qu’à présent. Bon il serait peut-être temps que je me souvienne ce qui a bien pu m’amener à finir ainsi et par la même occasion où je pouvais bien être à présent. Et cela avant que … La lumière s’allume. Hey bien on peut vraiment me considérer comme lent. Bon même si ca m’a surpris, l’intensité n’a rien de comparable avec celle du soleil, je retrouve donc assez rapidement mes capacités visuelles. Et quelle manque d’originalité, me voilà présent dans une cave, vu l’humidité j’aurais dû m’en douter faut dire. Voyons donc qui est donc le maître de maison, qui se retrouve à l’envers aux premiers abords. Ha non, c’est moi qui ais la tête en bas, au moins je pourrais m’en servir comme excuse pour ma lenteur d’esprit. Quel est donc son visage alors ? Ho … « Hey bien il vous aurez suffis de me demander pour que je me mette dans cette position ». Donc c’est bien ça, je vais mourir.

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Cette mission posait problème, il y avait un truc dans son contenu qui semble bien trop bizarre. Peut-être qu’il ne s’agit là que d’un mauvais pressentiment, mais j’avais bien l’impression que je ne finirais pas dans quelque chose de bien simple. On me demande d’espionner un marchand, donc pourquoi pas après tout je suis censé être un ninja. Mais bon, en vrai non, l’envie ne venait pas de me cacher, je ne pouvais pas m’empêcher de céder à ce défaut quoiqu’il arrive de me montrer. Ainsi de pouvoir jouir de tromper l’autre et s’il est coupable de le mettre à mal. Un couteau dans le dos est douloureux que pour celui le subissant pas vrai ? Après je ne dis pas, je finirais pour sûr par en recevoir un et, aujourd’hui plus qu’un autre jour, je ne doute pas qu’il puisse s’agir de ma propre lame. Donc me voilà suivant cette manie, je me retrouve donc à aller voir directement celui qu’on appelle « Hibou ». Un vieux, pas au point de ne pas être capable de marcher, mais je serais que peu étonné de savoir sa femme morte d’une mort purement naturelle. Je parle d’elle car la mission l’évoque également comme représentant un potentiel danger de séduction. Je me demande encore comment cette information a pu être obtenu, mais ca me semblait déjà bizarre avant de rejoindre le hibou, mais encore plus maintenant. Après tout il est toujours bizarre de voir une belle, jeune et sensuelle femme aux mains d’un vieux marchand, lui n’était pas si riche que ca pourtant … Je dis bien sûr cela sans partie prix machiste, le monde est simplement si bien ordonné.
Le « Hibou » en soit ne semble pas bien méchant, peut-être un peu arrogant, mais rien ne pouvant l’incriminer. Ne pouvant m’arrêter aux premiers abords, j’ai dons proposé mon aide voyant qu’il s’occupait de la boutique seul. Même en travaillant pour lui je ne pus déterminer l’origine du problème, d’autant que le marché se faisait toujours autant désert, la plupart des boutiques avaient même fini par fermer au plus tôt dans la journée. Je décidai donc de prendre mes aises et m’investir un peu plus en profondeur dans l’endroit, ce qui m’amenais à trouver une pièce assez spéciale. Éclairé qu’à l’aide de bougie odorante, ce qui installé une ambiance assez sinistre, en dehors de ca pas mal de livre étaient présents ici marqué pour la plupart par le même signe et non pas d’écriture. C’est quand je voulu sortir qu’une autre personne entra. Une belle femme, jeune bien que plus âgée que moi, elle était en réalité à la meilleur période pour révéler sa beauté. Je compris assez vite qu’il s’agissait là de la femme du « hibou », bien que de sa simple vision je n’en étais pas pour autant prit d’un désir incontrôlable. Elle m’invita malgré mon intrusion à m’asseoir, me disant vouloir lire mon avenir. De là s’en suivi une séance de pseudo-magie, elle brûla une fleur ce qui empli la pièce de fumée … Après cela j’imagine que je ne suis censé me souvenir de rien d’autre pas vrai ?

Mais voilà, ce qu’elle voulut faire je le compris assez facilement, malheureusement pour elle la fumée n’était pas la meilleure des choses pour m’avoir. Je jouai tout de même le jeu, finissant alors par devenir l’un de ces petits sujets. Il fallait dire que ces petites réunions avec ses toutous étaient pas mal instructives. Sauf que tout ne peut pas être parfait, je ne sais pas ce qui a permis de remarquer que je ne faisais pas partie des hypnotisés, je finis donc par me faire avoir. Pour la suite par contre je ne m’en souviens vraiment pas. « Voilà tout ce que je sais, vous faites en sorte de mettre à mal notre marché pour détruire à petit feu de l’intérieur le village … On dit que le Hibou est le genre d’animal qui dès lors qu’il a vu sa cible alors celle-ci est sûr d’en mourir. Je ne sais pas tout, vous êtes femme de l'ombre, le vrai « Hibou », je connais ma suite, j’aimerai juste qu’elle ne soit pas gouverné par l’ignorance.

- Tu as peu de chance d’être tombé sur moi, je suis sûr que tu aurais pu aller loin. Mon but est simple, ce que je fais au marché de Suna n’est que la partie immergé de l’Iceberg. Les villageois sont mes pions, la situation ne leurs plaira pas dès que la misère les toucheront et ca sera alors les hautes instances qui seront ciblés. Une distraction suffisante pour rendre ma cible visible comme tu l’as si bien dis, l’homme au-dessus de tous ici … J’aurais préféré ne pas te sacrifier, toi qui possède la croix, mais c’est nécessaire pour arriver à cette fin.

- Moi ? Qui êtes-vous réellement ? … Non attendez ! »

Un bruit c’était fait entendre en haut. Ils arrivent toujours aux mauvais moments, au moins je pouvais être heureux de ne pas mourir. Enfin je n’y pensais pas vraiment et ce n’est pas cela qui m’aurait fait du mal. J’avais réussi à envoyer un message à l’aide d’un renard de fumée, je n’avais pas plus d’information que cela à ce moment, mais a priori les autres ont réussi à obtenir le reste entre temps. La belle femme est bien trop prudente, elle aurait bien pu me tuer, mais ces quelques secondes l’auraient risqué à devoir combattre les shinobis arrivant. Elle visait le Kage, ça ne devait pas être son seul plan, mais si elle ne voulait pas rater il serait peu probable qu’elle se fasse voir avant un petit moment. Après ça n’était pas de mon ressort et je n’étais clairement pas à niveau, je n’arrivais même pas à me souvenir comment j’avais fini par me faire avoir, déjà qu’ils avaient dû m’assommer en un coup … Tss et en plus elle semblait connaitre de moi une chose dont j’ignorais tout. Je savais que cette histoire n’allait pas être en ma faveur … Pour une mission de rang D, je devais vraiment être l’un de ces chanceux pour en arriver là. Bon j’avais méritais ma cigarette !