Description : Ichiraku, le vendeur de ramen le plus connu de tout le village caché des feuilles, souhaite mettre en place un nouveau système de vente pour son restaurant. Il souhaiterait pouvoir livrer ses clients à domicile. Malheureusement le livreur qu'il a engagé est malade. Remplacez le et livrez toutes les commandes à temps.
Lieu : Avenue Commerçante.
Ahlala… encore un soleil radieux comme une boule de feu enflammée! Cette fois, je mis suis pris un peu différemment. Cette fois, j’ai pris ma mission en avance et c’est ce que je compte faire tous le temps, maintenant. Et oui, cette fois je suis allé hier chercher ma tache qui était de livrer des ramens pour un restaurant que je connaissais assez bien. Très tôt ce matin je suis parti de mon petit cocon chéri pour accomplir ma mission !
En route pour le restaurant qui devrait me donner les ramens à livrer, je vis sur un toit, trois personnes. Et reconnu la fille qui m’avait aidé au manoir du Hokage. Avec elle, deux personnes plutôt sur nerf. Cela m’a un peu surpris mais je devais garder en esprit ma mission d’aujourd’hui. Je les ai lâchés des yeux les laissant à leurs occupations. Et en quelques minutes, j’arrivai devant se bon vieux restaurant ou j’avais déjà travaillé mais comme serveur cette fois là. Devant, il y avait le mort-vivant, c’est comme ça que j’appelais ce chien. Je l’aimais bien ce chien mais lui me haïssait. Peut être parce que je lui avait donné un morceaux de viande périmé sans le faire exprès. Je le contournai un peu de peur qu’il me morde, et demandai à mon ancien collègue "abrutilligent" de me filer les ramens. Oui parce que c'est un sacrée celui-là...oui parce qu’il a une intelligence très abrutissante, en fait...comment dire...il est tellement intelligent, qu'il nous perd dans ses gigantesque phrase et que ça en deviens...et bien comme je l'ai dis, abrutissant, ce qui lui valu le nom d'abrutilligent. Il me les donna sans rechigner et me demanda s’il pouvait m’aider dans ma tache mais que je devais l’attendre puisque ce n’était que dans une dizaine de minute qu’il avait fini son service. Mais en revanche je devais lui laissais l’argent qu’il gagnera en vendant ses ramens. Très surpris, mais très heureux de cette proposition je l’acceptai sans attendre…enfin, juste 10 minute le temps qu’il finisse son service. En attendant, j’invoquai mon Puky, lui expliquai la mission et lui donna un tiers des ramens. Il s’envola à travers les arbres d’une vitesse fulgurante comme un junkie sautant du dixième étage, chouté à la testostérone.
Je l’attendais depuis bientôt vingts-cinq minutes environ, quand je l'aperçu... Mon collègue ce précipita sur moi en me disant qu’il a bien faillit mourir. Son chef qui s’amusé à jeter des couteaux sur la photo de son ex femme, lui a presque transpercé le crâne. Et c'est comme ça qu'il eu un gros pansement sur le nez. Bref il prit le deuxième tiers des ramens et alla les livrer! Il est devenu très bizard depuis notre dernière rencontre Il manquait peut être d’argent, mais je n'allai pas chercher plus loin et le laissa partir sans qu'il m'eu laissait le temps de lui dire un petit "merci" ou "au revoir". Quand à moi je fis de même. Sans encombre je livrais les ramens assez vite. Vers midi, une heure de l’aprem, je suis revenu au restaurant pour donner l’argent à Ichiraku. Puky était déjà là, j’imagine depuis un moment. Mais ne voyant pas le troisième arrivé, je parti à ça recherche inquiet qu'il lui ai arrivé quelque chose.
D’un coup j’entendis des cris qui venaient de plus haut. Et vis notre ami tomber d’un toit. Et d’autres personnes qui disparaissaient en sautant de toit en toit. Je me suis dis qu’il était mort d’une telle chute! Mais il était bien vivant avec quelques côtes cassées, une coupure au ventre, des brûlures sur le coté gauche et une partie des cheveux coupé. Il m’expliqua tout ce qui c’était passé. Au début, il livra ses ramens sans encombre quand soudain, un ninja l’attaqua en lui portant un coup de sabre, qu’il esquiva de justesse en se baissant et eu une partie des cheveux coupé. Ensuite le ninja cracha un souffle enflammé et lui brûla la partie gauche de ses anches. Et en trébuchant du toit, il esquiva une nouvelle fois ce monstrueux sabre qui lui fit une incision au ventre. Bien sur il n’avait pas livré les ramens et j’assumai l’échec de cette mission. Je pris son bras sur mon épaule et le conduisis vers l’hôpital. J'étais trop pressé d’emmener ce pauvre homme le plus vite possible se faire soigner, et ne vis pas la peau d’animal au sol, qui a du tomber d’un chariot de marchand. Et glissa dessus en laissant tituber le blessé qui glissa lui aussi sur une peau de banane et ce fracassa la tête contre pierre. Trop vite...je suis allé trop vite comme toujours...et c'est comme ça que le temps mangea le vie. Pleurant de chagrin je le ramenai aux autorisées compétentes qui se chargea du mort. Je rentrai chez moi déprimé de cette journée monstrueusement monstrueuse…