Décrivez dans cette partie le style de combat de votre personnage. La façon dont il fait face à l'adversité, quels sont ses points forts et faibles, quelle est sa manière de se mouvoir. Cette partie est facultative.

Haru est une personne qui ne supporte pas la solitude, pourtant, ayant vécu toute, ou presque, son enfance seul, elle ne sait pas bien comment se comporter face aux autres. Elle s'énerve vite et râle quasiment tout le temps ce qui fait que, au final, elle est rarement accompagner de quelqu'un ! Ce qui, bien évidemment, à fait naitre chez elle un petit brin de haine. Mais Haru n'est pas à plaindre. Enfin … C'est une façon de parler. Après que cette « haine » est né, elle s'est mise en tête que c'était les autres qui la rejetaient alors que c'était son caractère exaspérant qui faisait fuir les habitants du village. Alors la jeune fille est devenue … une petite peste !...


Oula oui ! C'est l'exemple même de la sale gamine qui embête tout le monde ! Quand elle était encore a l'école ninja, c'était la première à mettre des punaises sur les chaises, à se battre, à vous attendre derrière un mur pour vous crier dessus à votre passage, pour vous envoyer des boulettes de gomme en plein cours, vous faire des croches-pattes ou encore vous balancer un seau d'eau et pour partir ensuite en courant, vous laissant, là, avec vos insultes que vous lui criez derrière son dos. Mais tout cela n’était qu'une carapace, une carapace pour cacher son malaise et la difficulté qu'était de vivre avec une mère malade.


Ce n'est pas le genre de fille qui pleure ni qui se plaint. Quand je parle de plaindre, je ne parle pas de râler, je parle de se plaindre pour des choses importantes et non pas futiles car quand notre Miss râle c'est toujours pour des bêtises ! Non, jamais elle ne c'est plaint de sa situation familiale, ni de ses peurs, ni de ses tristesses ou de son mal être. Elle cache cela derrière sa haine, qui se cache elle même derrière ses bêtises. Mais Haru est une fille forte et dit toujours que la vie n'est pas marrante lorsqu'elle n'est pas difficile. Et pour rien au monde elle n'aurait changer sa place, même si elle haïssait sa mère, même si elle se haïssait elle même. Elle voulait rester ce qu'elle était.


Haru est aussi une flemmarde, et elle cri … Elle cri …. Elle ne parle jamais elle cri … Toujours obligée d'hausser la voix, d'avoir le dernier mot. Et elle taquine tout le monde. Vous ne pouvez pas rester près d'elle sans avoir au moins une fois hurler sur elle parce que ou elle parle trop fort, ou elle vous cherche, ou elle vous trouve … Et hop ! Vous tombez dans son stupide jeu du chat et de la souris !


Elle peut aussi être une vraie manipulatrice. C'est le genre de fille qu'il faut se méfier. Elle te tend la main, elle te sourit, pour, après, mieux te pousser dans le précipice. Elle joue avec son beau visage pour t'attirer vers elle, pour t'attirer dans la gueule du loup. Oui il faut se méfier car elle est capable du pire comme du meilleur.

Haru est la fille qui ne passe pas inaperçue dans la rue. Pas a cause d'un éventuel bouton bien rouge et bien dégouttant positionné sur son nez. Non mais au contraire grâce a la finesse de ses traits.

Ses yeux son marron très foncé, presque noir et on peu y avoir beaucoup de choses malgré qu'ils soient si sombres. Tout d'abord un grain de folie, la folie quand elle se bat contre vous, une folie dut a une envie d'en finir, de planter son arme dans votre gorge et regarder le sang rouge, froid, s'écouler contre la terre chaude.
Puis de la colère, la colère de  ne pas pouvoir vous faire de mal car vous êtes du même village qu'elle. Une colère qui ne s'explique pas, comme si elle avait envie de tout foutre en l'aire et de partir loin. Une colère qui vous est adressée, une colère qui lui est adressée, une colère adressée au monde.
Puis vint la pitié, vous lui faite pitié à la regarder alors que vous êtes à terre à moitié terrifier à moitié suppliant.
Et la joie, une sorte de regard qui vous dit : « j'ai gagner l'abrutie ! » Une joie souvent accompagnée d'un ricanement sinistre.
Et en dernier vient la tristesse, mais cette fois elle ne vous regarde pas et on ne sait pas d'ou vient cette tristesse. Elle regarde le ciel, loin devant elle et vous jurez la voir pleurer. Une tristesse dut a un sentiment de rancune mais aussi l'impression de ne pas vivre comme elle l'a décidée, de ne pas être libre.
Voilà les exemples de sentiments que l'on voit dans son regard seulement.

Son teint est pâle et ses lèvres rosées. Sa peau est lisse et douce et ses cheveux … Ah oui ~ ses misérables cheveux qui ont été source d'ennuie ! Ses cheveux son roux ! Et tout le monde se moque des roux ! Et bien je peux vous assurez qu'ils ne sont pas venus la voir deux fois pour se moquer d'elle. Après tout c'est elle la canaille qui était le chef de la bande de voyous ! Mieux valait la laisser tranquille et à l'époque beaucoup de garçons étaient tomber amoureux d'elle et peu venait lui tirer les cheveux !
Bref ses cheveux sont donc roux, elle les attache rarement et si elle devait les attacher, elle se ferait une couette haute ou deux tresses qu'il lui tomberait sur les épaules.

Elle porte un pull marron très clair et pâle en plaine et un short noir assez court, presque insolent, si on peut le dire ~ Un minimum de 5 lignes est demandé.

Je suis né à Iwa un jour de printemps, le 7 avril si vous voulez tout savoir. De ma naissance mes parents gardent en souvenir un jour pénible ou il faisait chaud et ou une nouvelle bouche à nourrir venait de naitre. Je ne fut pas la bienvenue et je n'étais pas prévue au programme de mes parents. C'était mon père, surtout, qui voyait en moi une « chieuse qui ne sert à rien ». Je pense qu'il me détestait, en faite, c'est même sur : il me détestait. Ma mère quand à elle n'a pas eu l'occasion de beaucoup réfléchir dans sa pauvre et minable vie. Tout ce que son mari lui disait, elle le faisait sans réfléchir. Et j'ai toujours détestée mes parents. Au point que même maintenant, alors qu'ils sont mort, je l'ai détestes toujours autant. Et cette haine et venue très vite. Au moment même ou je pouvais tenir debout sur mes jambes, la seule pensé que j'avais à l'esprit c'était de partir loin et vite.


Je n'ai pas beaucoup de souvenir de ma très jeune enfance. Le peu de souvenirs qu'il me reste sont ceux où mon père rentrait le soir, ivre, qu'il me battait et qu'il allait dans sa chambre accompagner de ma mère, là ou je vous laisse deviner la suite. Je me voie encore avec mon œil au beurre-noir et ma joue rosé par les gifles, les genoux, repliés contre mon torse, que j'encerclais de mes mains et la tête posé contre le mur froid à écouter tout leurs ébats jusqu'à ce que ma mère ressorte de la chambre pour me conduire dans la mienne et m'y laisse seul avec mon maigre repas.


Mais mon père et mort. Ivre et noyé. A partir de ce moment, tout à été plus calme pour moi. Beaucoup, beaucoup plus calme. Ma mère qui était toujours aussi bête m'a oublié et moi je suis devenue une peste. Comprenez moi … Sans parents personne ne se souciait de mon éducation et personne était là pour m'apprendre. Je faisais n'importe quoi sauf à l'académie ou mes notes n'étaient ni trop nuls, ni trop excellentes. J'étais destinée à devenir le sous-fifre qui obéit bien. Je voyais les choses de cette manière là, et je n'ai jamais considéré mon village comme ma famille. Je ne voyais en eux que des ombres passagèrent qui venaient et qui repartaient. Le village était pour moi un endroit de passage et je savais que je n'y resterais pas toute ma vie. Enfin ce n'est pas que je le savais mais surtout que je l’espérais.


Mais c'est en pensant à ma vie que j'ai commencé à avoir peur. Je ne voulais pas devenir comme mes parents, je ne voulais pas devenir, comme les enfant de ma classe, le kage du village, je ne voulais pas être un ninja qui protège le village au péril de sa vie car mon village je m'en moquais pas mal ! Je ne voulais pas devenir un sensei parce que je n'aimais pas les enfants et je ne voulais pas non plus devenir monsieur tout le monde qui vit une vie banale. Il y avait beaucoup de choses que je ne voulais pas faire mais qu'es ce que je voulais être alors ? Je ne me voyais pas vieillir et mourir ici. Alors très vite j'ai pris une décision. Il fallait que je devienne forte, très forte, ou du moins assez pour me préparer à toutes éventualités. Alors je me suis entrainée sans relâche. De toute manière il n'y avait que ça que je pouvais faire d'intéressant quand je rentrais chez moi.

Avant, je ne me souciais guère de mon avenir vu que je n'avais pas appris à me projeter dedans. Je vivais dans l'instant présent et j'ai grandie petit à petit en gagnant de la force et peut être un peu de sagesse même si c'est pas trop mon fort la sagesse … Ca ne veut pas dire que je suis une demeurée ! Non je ne suis pas idiote, je suis loin d’être idiote.


Je suis donc ni attaché à mon village, ni à ses habitants. Je ne me suis jamais fait d'ami en particulier, je me suis fait beaucoup d'ennemi par contre ! Et beaucoup de gens se méfient de moi ce qui me semble normal vu le milieu d'ou je viens … Puis ma mère et morte et mon histoire s’arrête là. Mon passé n'a été pas plus intéressante que ça. Je vous ai raconté une histoire banal, d'une fille banal. Une histoire qui se répète pour d'autre.

Mais ma vraie histoire, celle qui est intéressante et palpitante ne s’arrête pas là … Elle commence tout juste. Mon passé, maintenant, je peux l'effacer pour écrire une nouvelle chronique bien plus inintéressante que la précédente.
J'ai hâte de voir ce que l'avenir me réserve ...